Wokisme, genre, déconstruction : un monde sans repères, programmé pour l’errance
Déconstruction sauvage, reconstruction anarchique : derrière les discours d’émancipation, une idéologie déstabilisante impose la confusion comme modèle. Un glissement culturel présenté comme inévitable — et contre lequel toute résistance semble suspecte, dans un monde désormais privé de boussole.
Comprendre les effets du wokisme et de la déconstruction sur notre rapport au genre et à l’identité

On ne sait plus qui est qui, ce qui se vaut, ce qui se construit, ou ce qui s’effondre.
Dans un monde où la confusion est présentée comme un progrès, et l’instabilité comme un idéal de liberté, l’homme déconstruit n’est plus une figure en devenir, mais le symptôme d’un malaise généralisé.
Derrière les mots séduisants — inclusion, fluidité, émancipation — se cache une idéologie qui déconstruit tout, mais ne propose rien pour rebâtir.
Le wokisme prétend éveiller les consciences, mais il laisse le vide en héritage.
Et pendant que les enfants doutent de leur corps, que les adultes fuient la réalité, et que tout débat devient suspect, une élite auto-proclamée applaudit le chaos qu’elle a elle-même orchestré.
C’est une forme nouvelle d’influence, insidieuse, douce en apparence : une manipulation perverse de masse, qui détruit les repères en prétendant libérer.
Ce texte n’est pas un rejet de la nouveauté.
C’est une alerte. Et peut-être, un appel à reconstruire.
La déconstruction : un outil noble devenu piège idéologique
Initialement, la déconstruction était un outil critique puissant. Née dans les milieux universitaires, elle visait à mettre à nu les structures de pouvoir invisibles dans les discours, les récits historiques, les normes sociales. Derrida, Foucault, Deleuze… Ces penseurs ont invité à interroger ce qui semblait aller de soi. Et ce travail intellectuel a permis, à juste titre, de déconstruire le racisme, le patriarcat, le colonialisme.
Mais détachée de son contexte, cette méthode s’est vidée de sa substance pour devenir un slogan creux, malléable à l’extrême, utilisé à tort et à travers, par des individus qui en ignorent la portée. Aujourd’hui, on ne cherche plus à comprendre ou à libérer, mais à déconstruire pour déconstruire, à anéantir sans reconstruire. On rase les repères… et l’on s’étonne ensuite que les jeunes ne sachent plus qui ils sont.
Vulgarisation à outrance : quand la pensée devient slogan
Il est devenu « chic », dans certains milieux, d’annoncer fièrement qu’on « déconstruit » sa masculinité, sa féminité, sa parentalité… Mais déconstruire quoi, exactement ? Et pourquoi ? À force de se débarrasser de tout ce qui structure — les rôles, les limites, la biologie, la différence des sexes — on ne construit plus des êtres libres, mais des individus égarés.
Ce phénomène est amplifié par les réseaux sociaux : la pensée profonde y est remplacée par des formules toutes faites, des indignations en boucle, et une perpétuelle fuite en avant. L’élite auto-proclamée qui promeut cette « déconstruction universelle » n’a souvent ni ancrage, ni projets réels, ni mission humaine profonde.
Ils vivent dans un brouillard existentiel qu’ils cherchent à généraliser, dans un nivellement par le bas maquillé en émancipation. À défaut de s’élever, ils abaissent l’autre à leur propre confusion. Et cela « fait bien », cela donne l’illusion d’être du bon côté du progrès.
Le wokisme : d’un éveil salutaire à une idéologie tyrannique
À l’origine, être « woke » signifiait être « éveillé » aux injustices sociales : racisme, sexisme, homophobie. Ce terme est né dans les milieux afro-américains comme un appel à la vigilance face aux discriminations. Louable, évidemment.
Mais aujourd’hui, le wokisme est devenu une posture dogmatique. Il ne s’agit plus de dénoncer des injustices, mais de refuser toute forme de nuance, de complexité ou de débat. On impose des discours figés, on exclut ceux qui ne s’y plient pas, on efface les voix dissidentes, on censure au nom du bien supposé.
Cette forme de censure morale — véritable police de la pensée moderne — est l’un des signes les plus inquiétants de notre époque.
Et derrière cette radicalité, il y a souvent un refus d’argumenter, de se confronter à la contradiction, de peur que l’idéologie ne tienne pas. En imposant un dogme, on évite d’avoir à se justifier… et donc d’exposer sa propre ignorance.
« En imposant un dogme, on s’épargne la justification… et on dissimule son ignorance. »
Geneviève SCHMIT Tweet
Et c’est d’autant plus facile à faire que les masses à qui s’adresse ce discours sont peu éduquées, peu outillées intellectuellement, peu enracinées dans une culture personnelle solide. Il est bien plus simple de manipuler des foules en manque de repères que d’influencer des individus libres, instruits, capables d’analyse.
C’est aussi ce qui explique le succès de figures politiques comme Donald Trump, dont l’immaturité, le mépris du savoir et la brutalité verbale auraient dû faire honte… mais qui ont au contraire fédéré une population en quête de reconnaissance. En s’identifiant à lui, ces individus ont eu l’impression de toucher du doigt le pouvoir qu’il a su prendre, comme si leur propre ressenti, leur colère, leur ressentiment trouvaient enfin une voix légitime. Non plus marginalisés, ces individus sans réelle éducation trouvaient, par procuration, une forme de puissance.
« Nous avons cessé d’éduquer pour ne pas exclure, et ce faisant, nous avons exclu l’éducation. »
Alain Finkielkraut Tweet
Identité, genre et confusion institutionnalisée
Dans ce climat de déconstruction permanente, l’identité sexuelle est devenue un champ de bataille. Non plus un sujet de réflexion ou d’accompagnement bienveillant, mais un espace de guerre idéologique, où les plus jeunes sont posés en première ligne.
On voit désormais des mineurs, en pleine » construction » de leur personnalité, revendiquer un changement de sexe, appuyés par des adultes qui confondent écoute et validation aveugle. Certains parents, enseignants, psychologues même, renoncent à poser des limites, de peur d’être accusés de transphobie.
Mais un enfant ne peut pas décider de son sexe comme on change de pseudo. Il a besoin de repères, de temps, de maturation. Ce qu’on lui propose aujourd’hui, ce sont des hormones, des mutilations précoces, et une glorification de la confusion identitaire. Et ceux qui osent s’interroger sont muselés.
Comme l’écrivait Christopher Lasch :
« Une société qui ne transmet plus ses valeurs devient incapable de se perpétuer. »
Christopher Lasch Tweet
Quand la confusion devient la norme
Dans ce monde où l’on ne sait plus à qui on parle, où chacun peut se dire femme, homme, neutre, animal ou objet, le lien social se délite. Les mots perdent leur sens, les symboles aussi. Tout devient potentiellement offensant, tout est sujet à blessure, tout dialogue devient une prise de risque — non pas parce que le propos serait objectivement violent, mais parce qu’il entre en résonance avec une instabilité identitaire profonde. Car une personne solidement ancrée dans ce qu’elle est, y compris dans un changement de genre assumé, ne se sent ni accusée, ni menacée par l’opinion d’autrui.
« Ce n’est pas le mot qui blesse, mais son écho dans une identité vacillante. »
Geneviève SCHMIT Tweet
Le nivellement par le bas : une confusion érigée en modèle
Ce qui frappe le plus, c’est que ceux qui défendent avec le plus d’agressivité cette déstructuration de l’homme et du monde sont souvent les moins construits eux-mêmes. Ils n’ont ni parcours cohérent, ni mission claire, ni volonté de contribuer à une société vivante et stable.
Ils divaguent dans leur propre chaos, et trouvent dans l’idéologie un déguisement acceptable pour leur désorientation. Ils n’ont pas de projet humanitaire, pas de transmission, pas de valeur à défendre. Alors ils s’érigent en juges, en faiseurs de normes inversées, et imposent un climat où l’homme stable, ancré, construit, devient suspect.
L’objectif n’est plus d’élever l’individu, mais de le tirer vers un fond médiocre — car c’est là que beaucoup se trouvent déjà. Une existence désincarnée, un relativisme où plus rien n’a de valeur, sinon le plaisir immédiat et la possibilité de se dire victime.
Reconstruire : le courage de la verticalité
Face à ce chaos, reconstruire devient un acte de résistance. Il ne s’agit pas de revenir à des modèles figés ou oppressifs, mais de restaurer la verticalité de l’humain, sa capacité à se tenir debout, à penser, à transmettre, à incarner.
Reconstruire, c’est poser des limites aux enfants pour les sécuriser, ce n’est pas les valider dans toutes leurs croyances passagères.
C’est reconnaître que le corps a un sens, que la différence a une valeur, que le réel est un terrain d’enracinement, pas un ennemi à abattre.
« Éduquer, ce n’est pas valider tous les caprices, c’est offrir des repères face au vertige de grandir. »
Geneviève SCHMIT Tweet
Être adulte aujourd’hui, c’est avoir le courage d’aller à contre-courant. De dire non au relativisme. De refuser le confort du silence complice. De transmettre, même si cela dérange.
Conclusion : La fin d’un monde… ou sa renaissance ?
Oui, un monde est en train de s’effondrer. Celui des repères clairs, des identités incarnées, de la transmission sans peur.
Mais cette fin peut être l’opportunité d’un renouveau, si nous avons le courage de regarder en face ce qui s’effondre… et de reconstruire autrement.
Il ne s’agit pas de haïr la nouveauté, mais de refuser que l’errance soit imposée comme norme, sous prétexte d’émancipation. Il ne s’agit pas de rejeter ceux qui souffrent, mais de ne pas ériger la souffrance en idéologie.
Et surtout, il s’agit de retrouver le sens du mot “humanité” : une construction patiente, incarnée, imparfaite, mais réelle.
Mise en garde à mes lecteurs et lectrices victimes de manipulation perverse :
Ce texte aborde des mécanismes de dérive idéologique qui peuvent résonner douloureusement chez ceux et celles qui ont vécu sous emprise, en particulier auprès d’un manipulateur pervers narcissique.
Si vous avez été dépossédé de vous-même, fragilisé dans vos repères, réduit à douter de tout — vous savez ce que signifie être déconstruit de l’intérieur. Ce que vous avez subi à titre personnel, nous le voyons aujourd’hui se diffuser à l’échelle de la société : une forme de manipulation perverse de masse, qui impose la confusion comme norme, invalide la réalité, et fait passer toute pensée autonome pour une menace.
Ce texte ne vous vise pas : il dénonce ce que vous avez déjà combattu.
Il est de votre côté — du côté de celles et ceux qui cherchent à se reconstruire, à redonner du sens, à retrouver une cohérence intérieure. Là où d’autres imposent le chaos, vous tentez de retrouver une humanité.
Références et ressources complémentaires
➤ Sur la déconstruction (origine philosophique)
➤ Sur le wokisme et ses dérives idéologiques
➤ Sur les enjeux liés au genre
Geneviève Schmit – avril 2025
- FAQ -
Qu’est-ce que le wokisme et en quoi peut-il être considéré comme une idéologie déstabilisante ?
Le wokisme, à l’origine, se voulait un éveil face aux injustices : racisme, sexisme, discrimination. Mais aujourd’hui, il est devenu une idéologie manipulatrice, qui instrumentalise l’empathie pour culpabiliser l’autre, et parfois faire passer les bourreaux pour des victimes.
Derrière une apparente bienveillance, on observe des mécanismes proches de ceux que l’on retrouve dans une relation toxique ou une emprise perverse : on isole, on culpabilise, on démasque l’autre pour le discréditer, tout en passant soi-même pour une proie ou une victime éternelle. C’est une forme moderne de harcèlement idéologique, qui rappelle le fonctionnement d’un parent toxique ou d’un partenaire pervers narcissique.
Le wokisme veut manipuler les consciences au nom du bien, mais maintient son emprise en semant la peur d’être jugé, exclu ou « cancelled ». Celui qui interroge ou nuance est immédiatement étiqueté comme toxique, mis au banc, traité de réactionnaire.
Comme en perversion narcissique, le discours wokiste séduit, culpabilise, inverse les rôles : le bourreau devient victime, le manipulateur s’accuse d’être manipulé, et la pensée critique est disqualifiée. Ce mode de fonctionnement peut faire tomber sous l’emprise de slogans creux, d’injonctions moralisatrices, et empêcher de penser librement.
Sortir de l’emprise wokiste demande, comme en thérapie, de démasquer la manière perverse, de libérer son jugement, et de retrouver une parole autonome. Il ne s’agit pas de nier les luttes justes, mais de refuser la toxicité idéologique qui les dévoie.
La déconstruction est-elle toujours négative ? Que signifie “déconstruire sans reconstruire” ?
Non, la déconstruction n’est pas toujours négative. D’ailleurs, en psychanalyse comme en thérapie, déconstruire certaines croyances limitantes ou mécanismes de défense peut être libérateur, surtout lorsqu’il s’agit d’échapper à une emprise ou de se défaire de l’influence d’un pervers manipulateur.
Mais tout dépend qui déstructure, dans quel but, et avec quel accompagnement. Quand la déconstruction est menée avec bienveillance, lucidité et accompagnement thérapeutique, elle peut permettre à une victime de manipulation — parfois passée pour folle par un homme manipulateur ou une femme manipulatrice — de reprendre possession de son identité. Elle devient alors un acte de réparation.
En revanche, “déconstruire sans reconstruire”, c’est exposer l’individu à un vide identitaire, une culpabilité permanente, une désorientation qui peut être instrumentalisée. C’est exactement le terrain sur lequel opèrent les grands manipulateurs : ils savent manipuler les repères, inverser les rôles, faire passer la victime pour le bourreau, et se présenter comme les seuls guides valables.
On observe ici des comportements pervers, proches de ceux d’un harceleur moral ou d’un narcissique pathologique : on détruit l’édifice psychique d’autrui sans jamais proposer de reconstruction saine, simplement pour maintenir son emprise, ou imposer une vision du monde biaisée.
Déconstruire de manière saine suppose un cadre, une intention claire, un respect de l’autre. Sans cela, on n’aide pas une personne manipulée à se libérer, on la replonge dans une forme de manipulation affective où le doute et la confusion servent des intérêts pervers.
Pourquoi associer les questions de genre à la déconstruction et au wokisme ?
Parce que dans leur forme actuelle, les débats sur le genre ne se construisent plus autour d’une réflexion profonde, ni d’une réelle écoute de la souffrance… mais autour d’un glissement idéologique, souvent instrumentalisé, où le genre devient un levier de pouvoir symbolique.
Le wokisme, en s’appropriant la question du genre, ne cherche pas toujours à comprendre ou apaiser : il déstructure, culpabilise, impose, et sait manipuler les émotions pour faire passer des revendications idéologiques pour des urgences morales. On y retrouve des mécanismes proches de ceux décrits en thérapie chez des manipulateurs narcissiques, capables de faire passer pour des victimes ceux qui en réalité exercent une emprise sur les autres.
À travers la séduction du discours inclusif, on laisse parfois manipuler l’opinion, en jouant sur la culpabilité collective et en pathologisant tout questionnement. Ce climat émotionnel intense brouille la distinction entre souffrance réelle et instrumentalisation politique, entre personne toxique et véritable victime d’une manipulation.
Certains militants ou porte-parole sur ces sujets utilisent des mécanismes pervers bien connus des psychanalystes et psychiatres : ils inversent les rôles, passent pour des victimes, délégitiment la pensée critique, et maintiennent leur influence par le harcèlement moral ou la menace de disqualification sociale. C’est un fonctionnement narcissique, toxique, où la faille identitaire devient un outil de domination plutôt qu’un chemin de libération.
Associer les dérives actuelles du wokisme et de la déconstruction aux questions de genre n’est donc pas un amalgame. C’est mettre en lumière des dynamiques psychologiques profondes, que ceux qui accompagnent des personnes sous emprise — comme les psychanalystes, psychiatres, ou thérapeutes spécialisés — reconnaissent immédiatement.
Il ne s’agit pas de nier l’existence des souffrances liées au genre, mais de refuser qu’elles soient instrumentalisées par des discours ou comportements manipulateurs, parfois pervers, qui, loin de libérer de l’emprise, ne font qu’en créer de nouvelles — plus subtiles, mais tout aussi destructrices.
Quelle est la signification du Wokisme ?
Le wokisme désigne à l’origine un éveil aux injustices sociales — racisme, sexisme, discriminations — issu de mouvements anglo-saxons. Mais ce qui pouvait être un appel à plus de conscience a évolué, chez certains, vers une idéologie rigide et culpabilisante, qui retourne la situation, invalide la nuance et instrumentalise la souffrance.
Ce glissement est comparable à ce que l’on observe dans une relation toxique ou une emprise psychologique. Comme dans le cas d’un conjoint manipulateur, d’un homme pervers ou d’un ex narcissique, le wokisme peut utiliser des mécanismes pervers : culpabilisation permanente, inversion des rôles, mensonges moralisateurs, et volonté d’avoir une emprise sur les consciences.
Des individus parfois manipulateurs narcissiques, ou porteurs d’une faille narcissique, utilisent cette idéologie pour faire passer pour des victimes ceux qui, en réalité, cherchent à imposer leur vision. On retrouve alors des schémas bien connus des psychanalystes et psychiatres : comportement manipulateur, retournement de la faute, caractère pervers déguisé en vertu, et pression morale exercée sous couvert d’inclusion ou de justice.
Dans ce contexte, la personne qui pense différemment devient rapidement la cible. Elle est désignée comme manipulatrice, ou accusée d’être dangereuse, comme on fait passer une victime pour folle dans un processus d’emprise affective.
Le wokisme peut donc, sous certaines formes, fonctionner comme une emprise idéologique. Et comme dans toute relation de domination — que ce soit avec un grand manipulateur, une personne manipulatrice, ou dans une emprise de la colère — il devient urgent de ne pas se laisser manipuler, de se libérer de l’emprise mentale, et de reconnaître les conséquences perverses de ce discours qui, sous couvert de progrès, prive de liberté intérieure.
Comment puis-je savoir si un homme est déconstruit ?
Un homme “déconstruit” dans le sens idéologique du terme n’est pas simplement un homme sensible ou réfléchi. Il s’agit souvent d’un profil qui a abandonné certains repères fondamentaux — identitaires, culturels ou relationnels — au nom d’un discours qui valorise l’autodénigrement, la culpabilité permanente, et parfois une forme de soumission intellectuelle à un “nouvel ordre moral”.
Mais attention : l’homme déconstruit peut aussi masquer autre chose. Sous couvert de bienveillance et d’ouverture, il arrive que certains hommes pervers, voire manipulateurs narcissiques, adoptent ce discours pour mieux exercer leur emprise émotionnelle ou psychologique. Ils se montrent sensibles, engagés, à l’écoute… mais peuvent en réalité être animés d’un besoin de détruire, de jouer un rôle, ou de faire passer l’autre pour une victime tout en exerçant une forme subtile de domination.
Le psychanalyste ou le psychiatre reconnaîtra dans ce type de profil certains mécanismes pervers : culpabilisation déguisée en empathie, manipulation mentale raffinée, usage du “féminisme” ou du wokisme comme outil de contre-manipulation pour passer pour l’allié, tout en écrasant l’autre dans un jeu pervers.
Il est donc important de ne pas confondre homme en questionnement sincère avec homme sous l’emprise d’un discours ou pire, homme qui utilise cette posture comme masque pour manipuler. Les failles psychologiques sont parfois profondes, et certains individus deviennent des experts dans l’art de faire passer pour folle leur partenaire, ou de transformer leurs victimes en bourreaux désignés.
Si vous avez l’impression d’être victime de manipulation émotionnelle, ou de vivre avec quelqu’un qui exerce une emprise subtile en se cachant derrière un discours “déconstruit”, alors il est essentiel d’en parler avec un professionnel qualifié, pour défaire l’emprise, clarifier la réalité, et retrouver votre propre axe.
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