On appelle syndrome d’aliénation parentale, un processus d’emprise et de manipulation perverse imposé par un parent toxique et qui amène l’enfant à rompre tout lien affectif avec le parents cible ainsi qu’avec l’environnement familial de celui-ci. Geneviève SCHMIT
L’aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre volontairement à des comportements manipulatoires aliénants, endoctrinant l’esprit de l’enfant afin d’induire chez lui le rejet total et la désaffection à l’égard de l’autre parent ainsi que de tout ce qui l’entoure ou le définit.
Remarque importante :
L’aliénation parentale est un phénomène complexe qui peut être subi par n’importe quel parent, qu’il s’agisse d’une mère ou d’un père.
Mon intention avec cet article est de sensibiliser à cette problématique sans prendre parti pour un genre spécifique. Il est essentiel de reconnaître que ce syndrome peut affecter toutes les familles, modifiant le sexe des parents impliqués.
Mon objectif est de promouvoir une meilleure compréhension de l’aliénation parentale afin d’encourager un dialogue constructif sur ce sujet délicat.
Un article du Parisien
«En réunion, on m’a traité de pédophile» : malgré un non-lieu, un employé de la Ville de Paris se dit «mis au placard»
Dans quelle mesure un employeur peut-il ignorer des décisions de justice et s’appuyer sur une situation fragile pour « mettre au placard » un salarié ? C’est tout l’enjeu de la passe d’armes au long cours entre la mairie de Paris et Fabrice Joudioux, qui pourrait bien à son tour se régler au tribunal. Ce responsable des travaux dans les écoles publiques du XVIIe arrondissement a vu sa vie personnelle basculer il y a sept ans, dans la guerre sans merci d’une séparation conflictuelle.
Accusé par son ex-compagne de viol sur leur fillette de 3 ans et demi à l’époque des faits, ce père de deux enfants, qui a toujours clamé son innocence, a traversé une longue tornade judiciaire. La cour d’appel vient d’y apporter un point final en confirmant en juin un non-lieu prononcé trois mois plus tôt après une plainte contre X. En mai 2015, une première enquête de la police judiciaire avait déjà abouti au classement sans suite de la plainte.
Sept ans et trois décisions de justice plus tard, Fabrice Joudioux espère retrouver ses droits familiaux d’ici l’automne et compte bien se battre pour obtenir une véritable coparentalité. Reste que depuis deux ans, le cauchemar perdure sur un autre pan de sa vie quotidienne : son travail.
Deux plaintes déposées pour diffamation publique
Sa fiche de poste a toujours impliqué un travail de terrain, mais voilà le responsable de travaux contraint au télétravail total. Les visites d’établissements lui sont interdites, de même que les rendez-vous de chantiers avec les architectes. Cantonné à des échanges de mails et des réunions en visioconférence, il ne peut s’empêcher de voir là autre chose qu’une incitation ouverte à quitter son poste.
Fabrice Joudioux impute cette situation à la nouvelle équipe de direction de son service, convaincue, résume-t-il, qu’il n’y a « pas de fumée sans feu ». En d’autres termes, blanchi ou non par la justice, cet employé doit être tenu à distance des équipes et du public.
Documents officiels de justice, soutien général de ses collègues et de ses anciens chefs de service depuis l’origine de « l’affaire »… Rien n’y fait. Début juillet encore, il a été convoqué au service des relations humaines de la mairie de Paris, après deux plaintes qu’il a déposées en avril dernier contre deux supérieures hiérarchiques pour diffamation publique.
« On refuse de me réintégrer pleinement dans mes fonctions »
« On m’a traité de pédophile lors d’une réunion en visioconférence, c’est particulièrement violent, lâche-t-il. J’ai montré les jugements, fourni une attestation de mon avocat après l’ordonnance d’appel, et cela ne suffit pas ? Malgré toutes les preuves, on refuse de me réintégrer pleinement dans mes fonctions. On s’essuie les pieds sur des décisions de justice. »
Son avocat, Maître Baptiste Lampin, n’hésite pas à parler de « cabale » et « d’acharnement ». Le non-lieu dont son client a fait l’objet est l’aboutissement d’un « travail d’enquête judiciaire très minutieux », défend-il. « Dans ces affaires ultrasensibles, ni la police ni la justice ne veulent passer à côté d’un drame », argue le conseil. La situation judiciaire désormais « assainie et très claire », il lui importe de faire entendre cette décision de justice à la municipalité.
« Ces décisions s’imposent aussi à l’employeur », fait-il valoir. Les échanges entre l’avocat et son client d’une part, et la Ville d’autre part, sont au point mort. Cette dernière « exige que l’on fournisse l’arrêt complet de la cour d’appel, c’est du délire. C’est personnel, et je ne fournirai rien de plus que l’attestation officielle de cette décision », poursuit Maître Lampin. Ce dernier n’exclut pas « de saisir le tribunal administratif avec constat d’huissier », ni d’engager des poursuites pour discrimination.
« Ces décisions de justice ne disent pas qu’il ne s’est rien passé »
À la mairie de Paris, le cas Fabrice Joudioux a tout l’air d’une patate chaude. « La Ville n’exposera pas ses arguments par voie de presse et sera respectueuse des droits de ses agents, et soucieuse de garantir un bon climat de travail dans les établissements scolaires », fait-elle savoir au Parisien.
Cette position est confortée par l’avocate de l’ex-compagne. « Ces décisions de justice ne disent pas qu’il ne s’est rien passé, mais simplement qu’il n’y a pas assez de charges pour poursuivre Monsieur Joudioux devant une juridiction de jugement », répond Maître Sandrine Vergonjeanne. Et cette dernière de rappeler que celui-ci avait été mis en examen avant que la procédure d’instruction n’aboutisse à un non-lieu. « Cette mise en examen justifie sans doute que l’employeur prenne des mesures de précaution », suggère-t-elle.
Le Parisien - 10 août 2022
L’affaire concernant Fabrice Joudioux est loin d’être terminée. Il semble que la maire de Paris le menace de sanctions disciplinaires, lui impose un changement de poste et maintient sa position idéologique malgré les ordonnances de non lieu…
L’aliénation parentale est un sujet qui provoque beaucoup de polémiques…
Je vous invite à laisser en commentaire si dessous les réflexions que vous pourriez avoir sur ce sujet.
Je ne vous demande que de garder des propos respectueux de l’avis de tous. Les discordances viennent souvent d’une mauvaise compréhension du phénomène manipulatoire en question. Merci.
Parlons en !
Pour toutes consultations à distance, laissez-moi un texto au 06.43.43.15.79
Geneviève Schmit.
Facebook pour les victimes de violence psychologique et de manipulation perverse. Soutien.Psy
Très étonnée voire choquée par vos nouveaux articles ; l’aliénation parentale est un concept utilisé par des hommes violents pour discréditer la parole de leur ex et de leurs enfants ; dans l’affaire que vous rapportez on retrouve toute la trame habituelle des narratifs de pères violents, ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de condamnation qu’il n’y a pas eu de faits ; je me demande pourquoi une telle évolution de votre site, un business juteux des pères violents ?
Attention car pour le parent toxique, cela peut être un moyen d’attaque si le conjoint a dû fuir ce personnage toxique pour protéger les enfants.
Dans notre cas, les attaques sont de l’ordre de manipulation des enfants et discours partial de l’entourage pour discréditer ce parent toxique.
Heureusement pour le moment les juges aux affaires familiales et aux enfants n’ont pas été dupes de son jeu mais je pense que ce n’est pas toujours le cas.
J ai reconnu tous les symptômes,les actes que décrit Mme Nazaré aga,il y a l aliénation de mon père,très longue,et d un homme de plus qui m a harcèlee depuis3,4 ans.en effet c est criant.etre traitée de parano et re-menace de l asile ou de traitements lourds.il soumet ma mère.c est infernal.pourtant suis lucide mais reste ultrastressee chaque jour je réalise cela.il nie ma personnalité un peu hpi,il nie presque l existence.je n ai que peu de preuves tangibles.cvest urgent