Ce que j'en ai pensé
Je crois qu’on va s’arrêter là
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Ce livre est le témoignage de Géraldine Macq qui partage les points forts de sa libération d’un mari pervers narcissique.
Note de l’éditeur:
Après 25 ans passés aux côtés de ce qu’on appelle communément aujourd’hui un « pervers narcissique », le divorce est prononcé.
Cette rupture sonne le début d’un long réveil qui, sous un autre éclairage, a permis à Géraldine Macq de réaliser avec effroi l’étendue du mal perpétré.
Peut‐on tourner une page aussi lourde ?
À celles et ceux dont les souvenirs sont extrêmement douloureux, l’avenir n’est envisageable que par le prisme d’une promesse de bonheur. La recherche de l’équilibre devient dès lors essentielle, et seule une balance entre l’espoir d’un futur meilleur et la pleine conscience d’un passé tourmenté permet d’aller de l’avant.
Édition Panthéon
Note de l’auteur, Géraldine Macq:
Ce livre… parce qu’ à un moment s’est imposé le besoin de dire, de raconter, de témoigner, pour moi et pour les autres. Sortir du silence, sortir de la peur. Briser les carcans, ouvrir les vannes.Pour qu’autour, on sache enfin, on comprenne peut-être, on s’y retrouve parfois…L’écriture comme une évidence s’est imposée pour reconstruire sur un champ dévasté, faire résolument quelque chose de ce gâchis et tendre la main à d’autres qui surnagent….
Il est un moment, un instant essentiel, où l’on sent, où l’on sait, que la ligne rouge est franchie, que l’on est arrivé au bout de ce que l’ on pouvait supporter. Cet instant, propre à chacun, survient parfois très tôt, parfois très tard, mais il est ce point de non retour qui est notre sauvegarde, l’endroit auquel notre résistance va s’amarrer et peu à peu nous détacher …pour ensuite trouver une expression à la solitude et au silence extrêmes dans lesquels nous a plongés la vie aux côtés de ces profils toxiques: c’est la sortie de secours, l’exutoire, sous quelque forme que ce soit. Pour moi ce fut les mots…comme de petites billes lancées sur le chemin et destinées à se nicher ici ou là pour semer, susciter ce qui m’importe : l’ évidence du sursaut, sa nécessité à un moment donné, l’urgence de détourner le regard et de regarder résolument au-delà de cet autre qui ne vous accompagne pas..Ce moment venu, fixer l’horizon et contourner cet obstacle à la vie, cet étouffeur de rêves. Le pousser du coude pour pouvoir poursuivre la route tracée pour soi et qui nous attend depuis si longtemps…
Après la rupture, retrouver l’expression de soi est salvateur. Absolument, profondément, résolument pour enfin, j’en témoigne, aller à la rencontre de ce que nous étions…Géraldine Macq
Quelques extraits que j’ai choisi pour vous: « … on n’a décidément pas vécu ce que l’on croyait vivre. Deux choix alors s’imposent à vous: survivre ou se laisser mourir. Sublimer le traumatisme ou vous y engluer. Et ce n’est même pas un choix pour les mères, c’est un devoir. Pour les enfants, témoins de cette déroute… Une fidélité à la chair de sa chair qui vous porte et vous transporte au-delà de tout ce que vous imaginiez être capable de supporter… La vie des mères est ainsi faite. » . « Pendant que je m’épuisais à essayer de les préserver (les enfants), il les rendait témoins de la pire salissure… Comment ont-ils grandi affectivement en étant témoins de l’aveuglement imbécile de leur mère et du cynisme abject de leur père ? » . « Comment convaincre ? Le doute que l’on génère en tâchant d’expliquer est plus insoutenable que les faits eux-mêmes car il vous ramène à tous ces doutes qu’il a immiscés en vous … l’écheveau est inextricable. Alors on se tait. » . « Tu as posé des actes, oui, mais pour toi, en fonction de toi, pas dans le souci de l’autre, dans la recherche de son bien-être, ce qui fait toute la différence. » . « Toujours l’effroyable spectre de la solitude… C’est lui qui fait rester, envers et contre tout, alors que, déjà, elle vous habite, profondément. » et pour conclure: « J’ai perdu l’essentiel de ma vie à courir après une ombre. C’est désolant.
mais aujourd’hui, je sais que les ruines sont parfois des œuvres d’art pour qui sait les regarder. Et qu’au seuil de cette tranche de vie qui s’ébauche, elles seront ce socle qui me permettra de prendre, enfin, … mon envol. »
Lu pour vous avec un immense plaisir, ce livre qui ramène à la dignité et à la vie !
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Pour toutes consultations à distance, laissez-moi un texto au 06.43.43.15.79
Geneviève Schmit.
Facebook pour les victimes de violence psychologique et de manipulation perverse. Soutien.Psy
Bonjour,
Je suis comme pas mal d’autres personnes ici, j’ai un vécu et un passif conséquent avec un PN (mariée pendant 17 ans) et avec un père PN.
Maintenant, je ne souhaite pas développer davantage ici. Je pensais m’en être sortie, maintenant malgré le recours à différentes thérapies ainsi qu’ à l’EFT et l’EMDR, je reste avec des blessures qui se réouvrent en réalisant que l’attitude toxique semble se transmettre aux générations suivantes.
Et c’est, ce qui me déboulonne le plus désormais : le fait que malgré nous, il peut y avoir transmission aux enfants.
Or, je souhaite rompre la chaîne, je ne souhaite pas que mon fils de 14 ans reprenne cette posture et la développe auprès de sa sœur de 12 ans et de moi-m^me. Je pense ne pas mériter cela, mais j’ignore quel chemin prendre pour y parvenir.
C’est pour cette raison que je sollicite votre aide et conseils avisés.
Par ailleurs, pourriez-vous me dire quand est-ce que votre prochain livre sera à la vente.
Dans l’attente de vous lire,
Bonjour,
Merci pour ce prompt retour.
J’aurais effectivement besoin de savoir quelle posture adoptée face au père de mes enfants et en particulier mon fils sous forte emprise.
Je souhaiterais avoir rdv avec vous.
Proposez vous des forfaits de consultations, comment procéderez vous?
Bien cordialement
Marie-Claire
(Je me suis permise de retirer votre nom de famille pour plus de discrétion. Faites attention à ces détails …)
Intéressant de pouvoir lire un livre nous aidant à sortir de l’emprise d’un PN, mais
peut-on laisser, ce livre, sous les yeux du PN avec qui l’on vit et qui surveille ordi, téléphone, carnets de notes, et prétexte de faire le ménage et de bouger meubles ex… pour savoir si l’on n’y cache quelque chose ?
Bonjour,
Petite fille de grand-mère PN,
Fille de mère victime,
Belle fille de femme PN,
Fille de père victime de sa femme PN,
Sœur de frère PN
Et victime de mon ex conjoint PN.
Je pensais que j’avais assez donner, et bien non.
Mon nouveau conjoint avec qui je suis depuis bientôt 5 ans a aussi une sœur PN.
Difficile a croire.. Moi même je ne comprend pas pourquoi suis je entouré de PN.
Entouré de personne qui me déteste, qui sème la zizanie, qui me font passé pour méchante,car bien sur c’est moi « le problème ».
Ma grand mère maternelle c’est lié avec mon ex conjoint,quand elle a compris qu’elle n’arriverais pas a faire de moi la même chose qu’elle fait a ma mère( elle a rendu ma mère dépressif alcoolique).je ne peux me confier a ma mère car de suite elle en parle a sa propre mère.
Mon père à coupé les ponts avec moi depuis que je lui ai dit « tu ne sais pas tous ce que ta femme m’a fait subir » il m’a répondu ne pas vouloir savoir en me disant « adieu ma petite chérie ».
Mon frère quand a lui a été élevé par ma grand mère maternelle, je ne me suis jamais entendu avec lui, on se dispute constamment.
Mon ex conjoint avec qui je suis resté 5 ans et demi, j’ai eu 2 enfants avec lui.
aujourd’hui je suis arrivé a m’en sortir, il me reste la peur, pas pour moi mais la peur de ce qu’il peu faire a mes enfants en sachant le mal qu’il a pu me faire a moi adulte.
Maintenant je vis une histoire magnifique avec mon homme. La seule ombre au tableau et sa sœur. Sœur qui sème la zizanie entre sa famille et moi.Je ne connais que bien trop les comportements PN maintenant.
Mon homme est partagé entre sa famille et moi, bien qu’il voit bien par lui même les choses qu’ils me font. L’investigatrice de tous ces problèmes pour eux tous c’est moi !!!!
Alors j’en ai marre…marre…j’aimerais tant que les gens soient fort et qu’ils ouvrent les yeux..Je dois me taire car tous ce que je dirais se retournera contre moi, alors je pleure seule dans le noir quand tous le monde dort..Heureusement qu’il reste les larmes..
Je n’ai pas de haine, juste de la tristesse