Les 3 réactions du stress intense chez les victimes de pervers narcissique

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Les 3 réactions du stress intense chez les victimes de pervers narcissique : les comprendre pour mieux se défendre - Geneviève SCHMIT

Lorsqu’une personne est confrontée à une situation de stress intense, il peut y avoir une réaction de sidération qui se manifeste par une immobilité, un ralentissement ou des mouvements très automatisés. Cette réponse instinctive du cerveau reptilien est souvent observée chez les victimes de violences sexuelles, qui peuvent rester passives ou « comme figées » durant l’agression. Cette réaction de paralysie peut également être connue sous le nom de « faire le mort« .

Cette réaction involontaire peut avoir des conséquences dramatiques, car il arrive que les victimes ne soient pas prises au sérieux par les Forces de l’Ordre qui ne comprennent pas leur comportement. En outre, la respiration est également affectée, ce qui fait que la personne concernée est dans l’incapacité de crier ou d’appeler à l’aide. Il est donc essentiel de comprendre cette réaction instinctive pour mieux aider et prendre en charge les victimes de violence conjugale et de pervers narcissique.

1. Introduction: Lutte, fuite, sidération:

Lorsqu’une personne est confrontée à une situation de stress intense, son corps réagit instinctivement selon trois phases : la lutte, la fuite ou l’inhibition.

La réponse à un stress intense est souvent instinctive et foudroyante, se produisant instantanément, sans que le cerveau ait le temps de réfléchir de manière consciente. Cette réponse est en grande partie due au fonctionnement du cerveau, qui active des réflexes instinctifs situés dans la partie inférieure du cerveau appelée le cerveau reptilien. Ce cerveau primitif traite rapidement les informations sensorielles pour déterminer s’il y a une menace imminente, et active ensuite les réponses de lutte, de fuite ou d’immobilité.

Le néocortex, la partie du cerveau responsable de la réflexion consciente et de la prise de décision, est impliqué dans la réponse au stress intense, mais il est souvent court-circuité en cas de menace imminente. Cette réponse rapide est possible grâce à une voie nerveuse directe qui relie les sens aux centres de traitement du cerveau. Cette voie nerveuse s’appelle le « raccourci émotionnel » ou « voie rapide » et permet de traiter rapidement les informations sensorielles sans passer par le processus de réflexion consciente.

Ainsi, on peut dire que la réponse instinctive face au stress intense, activant les phases de lutte, de fuite ou d’immobilité, se produit en une fraction de seconde, grâce à la réponse rapide du cerveau reptilien et à la voie nerveuse directe ou « raccourci émotionnel« . Le cerveau réagit de manière fulgurante pour protéger la personne en cas de menace imminente, sans que la réflexion consciente soit nécessaire.

Ces réactions instinctives peuvent être observées chez les victimes de violence conjugale et de pervers narcissique, qui peuvent avoir des comportements qui semblent parfois aberrants. En effet, il n’est pas rare d’apprendre qu’une victime n’a pas réagi face à son agresseur, alors que d’autres peuvent riposter violemment, voire même de manière décalée. D’autres encore peuvent choisir de fuir sans tenir compte des conséquences juridiques de leur acte.

Pour mieux comprendre ces différentes réactions, il est crucial de mieux appréhender la situation des victimes de violence conjugale et de manipulateurs pervers narcissiques, hommes ou femmes, qui subissent une multitude de traumatismes. C’est un peu comme un « millefeuille traumatique« , qui peut générer des réactions explosives.

Cet article propose une analyse des différentes phases du stress intense liées au comportement du manipulateur pervers narcissique, homme ou femme qui génère une violence conjugale particulièrement sournoise et invisible de l’extérieur.

Mieux comprendre ces différentes phases et leur lien avec les comportements des victimes face à ces situations difficiles permettra de mieux les prendre en charge.

Présentation des trois réactions liées au stress intense : lutte, fuite, sidération

Les 3 réactions du stress intense chez les victimes de pervers narcissique : comprendre pour mieux se défendre contre la lutte, la fuite ou l’immobilité

  1. La première phase, la lutte, est une réponse instinctive de l’organisme lorsqu’il est confronté à une menace. Cette réponse implique une augmentation significative de la tension musculaire, une accélération du rythme cardiaque et une augmentation de la pression artérielle, afin de préparer le corps à combattre l’agresseur.
  2. La deuxième phase, la fuite, est également une réponse instinctive face à une menace. Cette fois, l’organisme prépare le corps à fuir rapidement pour éviter la confrontation. Cela se traduit par une augmentation de la fréquence cardiaque, une accélération de la respiration et une dilatation des pupilles pour permettre une meilleure vision.
  3. La troisième phase, l’inhibition ou sidération, est une réponse de l’organisme face à une menace qui ne peut être ni combattue ni évitée. Dans cette phase, le corps ralentit ses fonctions pour économiser de l’énergie et réduire les risques de blessures. Cela se manifeste par une diminution de la fréquence cardiaque et de la tension musculaire, ainsi qu’une diminution de la respiration. La victime fait le mort.

En somme, ces trois réactions instinctives face au stress représentent des réponses adaptatives de notre corps en situation de danger, visant à maximiser nos chances de survie.

Comprendre les réactions des victimes de violence conjugale et de pervers narcissique est crucial pour plusieurs raisons :

Aider les victimes à se comprendre elles-mêmes : Les victimes, hommes ou femmes, peuvent avoir des comportements qui semblent étranges ou aberrants pour elles-mêmes et pour les autres. En comprenant les différentes réactions liées au stress intense, les victimes peuvent mieux comprendre leur propre attitude et trouver des moyens pour y faire face. En effet, lorsque la victime réalise qu’elle a des comportements extrêmes ou inadaptés, elle peut se sentir dépassée et penser qu’elle devient folle. La compréhension de ses réactions face au stress peut les aider à mieux appréhender la situation et à reprendre le contrôle de sa vie.

Améliorer la prise en charge des victimes : La compréhension des différentes réactions des victimes, hommes ou femmes, face au stress intense peut aider les professionnels à mieux les prendre en charge et leur offrir une aide adaptée. Cela peut également éviter les jugements hâtifs ou les mauvaises interprétations de leurs comportements, qui amènent parfois à des situations dramatiques et dangereuses. En améliorant la prise en charge des victimes, il est possible de leur offrir un soutien adéquat et de réduire le risque de nouvelles violences.

Sensibiliser l’opinion publique : Comprendre les différentes réactions des victimes face au stress intense peut aider à sensibiliser l’opinion publique à la complexité de la situation des victimes de violence conjugale et de pervers narcissique. En brisant les stéréotypes et les préjugés à l’égard des victimes, il est possible de réduire les jugements hâtifs, qui peuvent être extrêmement destructeurs pour ces personnes déjà déstabilisées, et de mieux faire comprendre leur besoin d’aide et de soutien. Sensibiliser l’opinion publique est essentiel pour encourager une prise de conscience collective et pour favoriser des changements significatifs dans la façon dont la société traite les victimes de violence.

En somme, comprendre les réactions des victimes de violence conjugale et de pervers narcissique est essentiel pour offrir une meilleure prise en charge des victimes, pour aider les victimes à mieux comprendre leur propre comportement, et pour sensibiliser l’opinion publique à la complexité de leur situation.

2. Réactions face à l'agression

Les victimes de violence conjugale et de pervers narcissique peuvent avoir des réactions très différentes face à l’agression, en fonction de leur vécu, de leur personnalité, de leur histoire, de leur contexte de vie, mais aussi des caractéristiques de l’agression elle-même. Voici les principales réactions possibles :

A. La sidération : une réaction instinctive face à une menace

Lorsqu’un homme ou une femme est confronté à une agression soudaine et très intense, il peut y avoir une réaction de sidération, qui est une forme de « paralysie » physique et mentale. La sidération est une réponse instinctive du cerveau reptilien qui vise à protéger la personne en l’immobilisant et en abaissant sa tension artérielle et sa fréquence cardiaque. Cette réaction est souvent observée chez les victimes de violences sexuelles, qui peuvent rester passives ou « comme figées » durant l’agression.

Il a été scientifiquement prouvé que la peur intense peut provoquer une réaction de paralysie qui fige la victime sur place, également connue sous le nom de « faire le mort« . Les chercheurs ont mené une étude pour étudier cette réaction chez les humains. Les résultats ont montré que la peur déclenche effectivement une réaction physiologique d’immobilité chez les victimes. Cette réaction de paralysie explique pourquoi certaines victimes d’agression ou de viol ne cherchent pas à se défendre. Cette réaction involontaire fait partie des réactions typiques des animaux face aux menaces extrêmes.

Exemple de situation : Une femme se retrouve soudainement face à son conjoint qui entre dans un état de crise de rage narcissique, et se met à hurler, à la menacer de mort et tente de la violer. Elle reste totalement figée, tétanisée par la peur, incapable de réagir. Malheureusement, dans ce cas, les forces de l’ordre risquent de douter de son agression.

Il est important de prendre en compte cette réaction instinctive dans la compréhension des comportements des victimes de violence conjugale et de manipulateurs pervers narcissiques. Les victimes qui ont subi une agression peuvent avoir des comportements qui semblent étranges ou aberrants pour les autres, ainsi que pour elles-mêmes. En comprenant les différentes réactions liées au stress intense, les victimes peuvent mieux comprendre leur propre attitude et se donner les moyens de mieux y faire face. Les professionnels doivent impérativement prendre en compte cette réaction de sidération pour mieux comprendre les réactions des victimes et leur offrir une aide adaptée. Enfin, sensibiliser l’opinion publique à la complexité de la situation des victimes de violence conjugale et de manipulation perverse narcissique peut aider à briser les stéréotypes et les préjugés à leur égard et à mieux faire comprendre leur besoin spécifique d’aide et de soutien.

B. La lutte : quand la victime cherche à se défendre

La réaction de lutte est une réponse instinctive du corps visant à protéger la personne agressée en l’amenant à se défendre. Cette réaction peut prendre différentes formes : la victime peut crier, frapper, mordre, griffer, ou encore tenter de désarmer son agresseur ou de le mettre à terre. Elle est souvent observée chez les victimes qui ont une forte personnalité, une grande confiance en elles ou qui ont déjà vécu des situations similaires. Toutefois, il est important de souligner que le pervers narcissique peut retourner la situation en sa faveur en se faisant passer pour la victime auprès de tiers ou des autorités, rendant ainsi difficile la preuve de la véritable version des faits par la victime.

Exemple de situation : Un homme est frappé et insulté par sa compagne. Il réagit en lui rendant les coups et en la poussant violemment pour se protéger.

C. La fuite : quand la victime cherche à s'échapper

La réaction de fuite est une réponse instinctive du corps qui vise à protéger la personne en l’amenant à fuir face à une agression qui met en péril son intégrité physique ou morale. Cette réaction pulsionnelle peut prendre différentes formes : la victime peut courir, se cacher, sauter par la fenêtre ou sortir de chez elle. Cette réaction est souvent observée chez les victimes qui sont en état de panique, qui se sentent en danger de mort imminente ou qui ont peu de ressources pour se défendre.

Exemple de situation : Une femme est agressée par son compagnon, mais elle ne réagit pas, car elle pense qu’elle doit supporter les violences pour « préserver son couple« . Elle culpabilise ensuite de ne pas avoir réagi de manière appropriée et se sent incapable de demander de l’aide.

D. Les raisons pour lesquelles une victime peut ne pas réagir de manière appropriée

En conclusion, retenons que chaque personne a sa propre manière de réagir face au stress intense, en fonction de son histoire, de sa personnalité, de sa culture, de son éducation, de la situation et de sa perception de la menace. Ainsi, certaines victimes peuvent avoir des réactions inadaptées à la situation, ce qui peut les faire culpabiliser ou les empêcher de demander ou de recevoir de l’aide.

Exemple de situation : Une femme est agressée par son compagnon, mais elle ne réagit pas, car elle pense qu’elle doit supporter les violences pour « préserver son couple« . Elle culpabilise ensuite de ne pas avoir réagi de manière appropriée et se sent incapable de demander de l’aide.

3. Les traumatismes liés à la violence conjugale et au pervers narcissique

A. La violence psychologique et ses conséquences

La violence psychologique, bien que moins visible que la violence physique, peut avoir des conséquences graves sur les victimes, allant de la dépression à la perte de confiance en soi, en passant par l’angoisse, le stress post-traumatique et le désir de mourir. Les victimes peuvent également développer des troubles du sommeil et de l’alimentation, ainsi qu’un sentiment de culpabilité ou d’isolement social.

Exemple de situation : Un homme est constamment rabaissé, humilié et contrôlé par sa femme, qui l’isole de ses amis et de sa famille. Il se sent totalement piégé dans cette relation toxique et développe des troubles anxieux et dépressifs, ainsi qu’un sentiment d’impuissance et de solitude.

B. L'impact de la violence physique sur les victimes

La violence physique peut causer des blessures physiques et psychologiques à court et à long terme. Cela peut aller des ecchymoses et fractures aux traumatismes crâniens, à la perte de la mémoire et même, dans certains cas, à la mort. Les victimes peuvent également souffrir de troubles anxieux et dépressifs, de stress post-traumatique et de troubles du sommeil, qui peuvent affecter leur qualité de vie et leur capacité à mener une vie normale.

Exemple de situation : Une femme est battue régulièrement par son conjoint et finit par subir une fracture de l’orbite, nécessitant une intervention chirurgicale. Elle souffre également de flashbacks et d’hypervigilance en raison de son traumatisme, ce qui affecte sa capacité à travailler et à socialiser.

C. La peur et l'isolement social comme facteurs de traumatisme

Les victimes de violence conjugale et de pervers narcissique souffrent de peur et d’isolement social causés par l’agresseur, ce qui peut avoir des conséquences sur leur santé mentale et physique. La peur entraîne inévitablement des symptômes physiques et psychologiques tels que l’hypervigilance, l’insomnie et la dépression, tandis que l’isolement social peut aggraver les sentiments de détresse et de solitude.

Exemple de situation: Une femme constamment insultée, humiliée et contrôlée par son conjoint abusif. Elle a peur de le quitter ou de chercher de l’aide car il la menace et lui dit qu’il la trouvera où qu’elle aille. Elle se sent piégée et isolée, sans aucun soutien social ou familial.

D. La combinaison des traumatismes : le millefeuille de traumatismes

Les victimes de violence conjugale et de pervers narcissique risquent de subir plusieurs types de traumatismes en même temps, créant un effet de « millefeuille de traumatismes« . Cette accumulation de chocs peut rendre la prise en charge des victimes encore plus difficile, car chaque traumatisme aura des conséquences différentes et cumulatives sur la santé mentale et physique de la personne.

Exemple de situation : Une femme a été victime de violence physique et psychologique de la part de son conjoint pendant plusieurs années. Elle souffre maintenant de stress post-traumatique, de dépression et d’un sentiment d’isolement social. Sa prise en charge doit tenir compte de la combinaison des traumatismes subis pour une meilleure prise en charge.

4. Conclusion

Comprendre et soutenir les victimes : Les réactions des victimes de violence conjugale et de pervers narcissique face à une agression sont souvent incomprises et jugées de manière négative. Il est crucial de comprendre que ces comportements ne sont pas une faiblesse ou un manque de courage, mais une réponse instinctive du corps face à un danger. Ainsi, en étant sensibilisés à cette réalité, nous pouvons offrir un soutien bienveillant et aider les victimes à retrouver leur dignité et leur confiance en elles.

La complexité de la situation des victimes : La violence conjugale et le pervers narcissique sont des phénomènes sournois, destructeurs et difficiles à déceler pour les personnes extérieures. Il est essentiel de prendre conscience de cette réalité et d’œuvrer pour une meilleure prise en charge des victimes. En sensibilisant l’opinion publique à ces questions, nous pouvons contribuer à briser les stéréotypes, les préjugés, les jugements hâtifs et à offrir un environnement plus sécurisé et bienveillant pour les victimes.

En espérant que cet article puisse aider à mieux comprendre les réactions en apparence aberrantes de la plupart des victimes, je suis convaincue que la sensibilisation à cette réalité permettra une meilleure prise en charge des victimes, et une diminution des préjugés et stéréotypes à leur égard. Offrir un environnement plus sécurisé et bienveillant pour les victimes est un objectif essentiel pour notre société.
Geneviève Schmit - Psychologue et thérapeute spécialisée pervers narcissique
Geneviève SCHMIT
Geneviève SCHMIT - avril 2023

Copyright © 2023 – Geneviève SCHMIT. Tous droits réservés. La reproduction intégrale de cet article est autorisée, à condition que le nom complet de l’auteur ainsi que le lien actif de la page du site internet http://soutien-psy-en-ligne.fr ou/et https://pervers-narcissiques.fr soient clairement indiqués. Merci de votre intérêt pour mon travail.

FAQ

Les victimes de harcèlement moral peuvent présenter des symptômes similaires à ceux d’un trouble de stress post-traumatique (TSPT), tels que des cauchemars, des flashbacks, une hypervigilance, un évitement, une dissociation et des symptômes émotionnels intenses. Les psychiatres et les psychothérapeutes utilisent souvent des techniques telles que l’EMDR et les TCC (Thérapies Comportementales et Cognitives) pour aider les victimes de harcèlement moral à surmonter leurs symptômes. Il est également important de rappeler aux victimes qu’elles peuvent porter plainte et recevoir de l’aide pour faire face à leur traumatisme.

Si vous ressentez une anxiété persistante, excessive et irréalisable pendant une période prolongée, vous pourriez souffrir d’un trouble anxieux. Les symptômes de stress peuvent survenir de manière aiguë ou être répétitifs. Les événements traumatiques peuvent déclencher ce type de réaction, avec une symptomatologie qui peut inclure l’irritabilité, les phobies, les troubles anxieux, les états de stress post-traumatique, et bien d’autres. Si vous êtes atteint de tels symptômes, il est important de consulter un psychiatre pour un diagnostic et un traitement appropriés, qui peuvent inclure des psychothérapies, des médicaments tels que des antidépresseurs, ou des thérapies comportementales et cognitives. La prévalence des troubles anxieux est élevée dans la population générale et particulièrement chez les vétérans ou les personnes souffrant de pathologies mentales ou psychiatriques.

Les traitements pour les troubles liés au stress post-traumatique peuvent inclure la psychothérapie, telle que la thérapie comportementale et cognitive, et des approches médicamenteuses, telles que l’utilisation d’antidépresseurs. D’autres approches thérapeutiques peuvent également être utiles, notamment la thérapie par exposition et la thérapie de stabilisation de l’humeur. Le choix du traitement dépendra de la gravité et de la survenue des symptômes, ainsi que du vécu de l’événement traumatique. Il est important de noter que la guérison peut être un processus douloureux et complexe pour les personnes atteintes de troubles mentaux, mais une intervention rapide et adaptée peut favoriser leur rétablissement.

Il existe plusieurs options de traitement pour les troubles liés au stress et aux traumatismes psychologiques, y compris les névroses, les phobies, les crises de panique, les troubles obsessionnels compulsifs et les troubles anxieux généralisés. Les traitements peuvent inclure une psychothérapie émotionnelle et comportementale, la médication (anxiolytiques, benzodiazépines, etc.), ainsi que des thérapies alternatives telles que l’EMDR ou la thérapie cognitivo-comportementale. Il est important de consulter un professionnel de la santé mentale pour un diagnostic précis et une recommandation de traitement appropriée.

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Genevieve Schmit

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2 commentaires :

  1. Merci pour la justesse de vos analyses et leurs illustrations par des situations concrètes…

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