Jeunes adultes, Tamara et Martin ne s’attendant à vivre une expérience aussi terrifiante en rencontrant l’ « amour » auprès d’un et d’une perverse narcissique
« Engrenage infernal » sur Planète + Justice
Vendredi 14 février 2014
Après Psycho du crime et Labo du crime, Planète + Justice propose à partir du mercredi 27 février une nouvelle série documentaire, cette fois présentée par Karine Duchochois. Son nom vous est familier puisqu’elle est une des « acquittés d’Outreau », devenue journaliste et, depuis 2007, aux commandes de la chronique « Le droit d’info » sur France Info.
Présentée par Karine Duchochois, ENGRENAGE INFERNAL est une collection de 8 films documentaires, chacun dressant le portrait croisé de deux citoyens, victimes d’événements dramatiques qui ont fait basculer leur vie. Profondément marqués ils ne seront plus jamais les mêmes.
Cette collection documentaire est incarnée par une femme qui a connu un combat judiciaire : Karine Duchochois, l’une des plus célèbres acquittées de l’affaire d’Outreau.
Désormais journaliste, elle ne se contente pas de raconter ces histoires. Elle tente d’y apporter un éclairage supplémentaire avec l’aide d’experts judiciaires, de psychiatres, de responsables associatifs et de représentants des forces de l’ordre.
La vidéo n’est malheureusement plus visible sur le Net
http://playtv.fr/programme-tv/867807/engrenage-infernal/#resume
Vendredi 14 février 2014 sur Planète + Justice
Jeunes adultes, Tamara et Martin ne s’attendant à vivre une expérience aussi terrifiante en rencontrant l’amour.
Pour leur malheur ils ont été tous les deux victimes d’un pervers narcissiques. En public, les pervers narcissiques ont le visage de l’innocence, en privé leur pouvoir de nuisance est incommensurable.
Tamara et Martin ont vécu des années avec ces conjoints retors et manipulateurs… Ils s’en sont sortis de justesse, après avoir connu l’enfer du huis clos familial pendant plusieurs années.
Aujourd’hui, libérés les deux trentenaires témoignent face à la caméra de Anne Moyat.
En tant qu’experte dans l’aide aux victimes de manipulateur pervers narcissique,
Anne Moyat m’a demandée de répondre à quelques questions concernant les
deux témoignages qui vous sont présenté dans cette émission.
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Coaching thérapeutique pour les victimes de manipulateurs pervers narcissiques ©
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La reproduction intégrale de mon écrit est autorisée. Cependant, mon nom complet ainsi que le lien actif de la page du site internet http://soutien-psy-en-ligne.fr ou/et https://pervers-narcissiques.fr est obligatoire. Vous remerciant de votre compréhension ainsi que de l’intérêt porté à mon travail, Geneviève Schmit. . . © Geneviève Schmit, experte dans l’accompagnement des victimes de manipulateurs pervers narcissiques. J’aurais grand plaisir à lire vos interventions sur le Facebook qui vous est dédié: Facebook pour les victimes de violence psychologique et de manipulation perverse. Soutien.Psy
Pour toutes consultations à distance, laissez-moi un texto au 06.43.43.15.79
Un PN peut se permettre de dire des choses perverses et dégueulasses tout naturellement aux personnes?
Qu’est ce qui fait que je rencontre si souvent ces malades? Mon patron l’est , ma collègue aussi.
Bonjour,
Les personnalités perverses se rencontrent effectivement partout… C’est un fait.
Par contre, la question à se poser est: Pourquoi j’entre en « relation » avec ces personnalités là ?
Bon courage, Geneviève SCHMIT
‘’SYNDROME DE MEDÉE’’ Perversion narcissique pire que l’aliénation parentale, L’enfant proie de choix, fragile et malléable, en pratique, une démarche structurée et impitoyable est mise en place, visant à entraver l’accès à l’enfant mais aussi à placer la victime dans une situation d’impotence pour mieux sévir. Élément sadique pathogénique du syndrome : Des comportements d’intimidation et d’exclusion sont adoptés également envers les proches et alliés de la victime, médecins compris. Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psycho traumatiques très importants
UN CAS D’ÉCOLE : aux frontières de l’irréparable, une affaire sordide d’un petit enfant maintenu sous contention chimique RISPERDALE+EPIVA+BIPHENDEN, sans supervision médicale adéquate et ce malgré l’avis de nombreux professionnels impliqués dans le dossier, démontrant l’inutilité d’une telle mesure, mais aussi l’effet extrêmement négatif sur le développement de l’enfant, qui vit une telle situation depuis l’âge de 4 ans et a maintenant 9 aujourd’hui,. Cet enfant, au départ n’avait qu’un simple retard de langage, retard qu’il était en train de rattraper grâce à des services spécialisés que la mère avait mis en place alors que l’enfant avait 27 mois,
l’enfant avait été confié au départ a la mère, Insatisfait du jugement, le père est passé par le DPJ (direction protection de jeunesse Québec) pour régler son différent en matière de garde, le père souffre d’un problème de santé mental confirmé et documenté et fait une sorte de projection de ses propres problèmes sur l’enfant, n’acceptant pas le diagnostic relativement bénin d’un retard de langage, misant sur un trouble envahissant du développement (TED) et ce malgré les opinions médicales contraires et les nombreuses preuves vidéos où l’enfant démontre clairement des comportements qui sont incompatibles avec l’autisme
Cependant, la sœur du père est pédiatre et malgré qu’elle soit au courant des problèmes psychiatriques de son frère, décide tout de même de collaborer à son jeu en émettant une évaluation de complaisance dans le cadre ‘’de procédures de garde’’ La DPJ(direction de la protection de la jeunesse) a ensuite assisté le père dans ses démarches pour reprendre la garde de l’enfant et ainsi le soustraire à l’environnement affectif et éducatif qui lui convenait pour le soumettre à un environnement éducatif spécialisé incompatible avec son état réel en plus de lui causer un traumatisme émotif causé par la séparation d’avec sa mère et sa grand-mère, traumatisme qui fut « géré » par voie de contention chimique.
L’enfant avec toutes ses facultés cognitives a été forcé d’évoluer dans un environnement éducatif conçu pour une clientèle lourdement handicapée mentalement, et coupé de tout lien affectif et familial significatif. Imaginez l’impact sur son développement cognitif, sur le frein que cela peut mettre dans la réalisation de son plein potentiel, mais surtout du malaise et de l’inconfort qui n’ont eu d’autre choix que de s’exprimer à travers la colère face à une telle atteinte à son propre développement personnel, des crises que la DPJ a choisi de réduire au silence par une camisole de force chimique plutôt que de reconnaitre ses erreurs et agir dans le bien de l’enfant en le retournant dans son véritable milieu familial.
Par la suite, le père a eu un nouvel enfant avec sa nouvelle conjointe et ne désire plus avoir la garde de l’enfant. Plutôt que de reconfier l’enfant à son milieu naturel original, d’où il n’aurait jamais dû sortir, il est plutôt envoyé en Centre de réadaptation en déficience intellectuelle (CRDI) alors qu’il est gavé de psychotropes qui le rendent dans un état végétatif, histoire de contenir la rage et la détresse qu’il tente d’exprimer face à la situation intolérable qu’on lui fait subir. Le tribunal retardant inutilement le secours qui doit être apporté à l’enfant, ce qui devrait pourtant être une première priorité. Les responsables de cette sordide affaire se mettent la tête dans le sable, la mère assistant impuissante à la destruction de son petit enfant abandonné en maison d’accueil, de surcroit abusé sexuellement sous couvert du DPJ , l’enfant livré à son sort rendu dans un dans un état végétatif.
Il est vain d’espérer que des personnalités aussi grevées de troubles de la personnalité acquiescent à autre chose que l’intimidation pénale. Et il ne sert à rien de prescrire médiations ou traitements tant que cette folie n’a pas été sanctionnée. Médecins et juristes devraient donc être conscients que la paranoïa et le sadisme sont tels dans le syndrome de Médée que seule l’intimidation pénale peut arrêter ces sujets délirants qui ne deviendront jamais’’ fous’’!!!!….
Voir ce qu’il est advenu de l’enfant, 4 année de RISPERDAL+ ÉPIVAL+BIFENDEN, a 5 ans et demi sur le long terme,
Bonjour
je avec vis avec plus d’une centaine de personnes ,chiffre grandissant jour confronté à une pervers narcissique.elle manipule entre la suisse et la haute Savoie.Elle porte plainte depuis des années.Elle envoie des mails d’insultes très diffamatoires avec harcèlement: aux juges procureurs,avocats services sociaux ,clamant toujours sa détresse humaine et financière,engendré par les poisons les pervers…Elle perd ses procès.Le milieu judiciaire ou elle a établie domicile entre dans une complaisance tacite,elle échappe toujours aux difficultés,c’est un enfer car c’est toujours d’autres accusations …je ne comprend pas que la justice puisse lui laisser la possibilité de continuer dans son délire J’ai besoin de comprendre.
j’ai appelé une avocate spécialisée ,elle me demande des honoraires que je ne peux payer.c’est un dossier toile d’araignée,tellement fou.j’aimerai contacter la journaliste je n’ai pas ces cordonnées.Pouvez vous me donner son adresse.dans l »attente d’une réponse
je vous remercie pour votre site qui m’a permis de comprendre ce que je vivais les gens concernés par cette personne sont dévorés face a ses perversions d’accusations publiques et juridiques.c’est effarant que la justice la laisse continuer: elle a eut plus de 20 avocats qui ont lâché les dossiers!!!
je vous remercie et vous souhaite une année sereine et joyeuse
Merci
Martine Moulard
Bonjour,
Je comprend votre désarrois pour l’observer chez d’autres personnes…
Ces « terroristes » qui ne se laissent pas déstabiliser par la justice sont légion. Cette semi impunité les rends d’autant plus redoutables car ils y tirent de la puissance.
Que les avocats demandent des honoraires élevés ne m’étonnent pas car comme vous le dites, ce sont des procédures tentaculaires …
Pour ce qui concerne la journaliste, je peux vous dire qu’elle ne s’arrêtera pas là dessus, malheureusement …
Lorsque je l’ai rencontrée pour l’émission, je lui ai parlé d’autres types d’affaires peut être encore plus dramatiques que celles là car touchant aussi des petits enfants …
Elle ne semblait pas intéressée à ouvrir d’autres sujets car la série d’émission qui s’y rapporte était close.
Je n’ai d’ailleurs pas son contact direct.
Peut être pourriez vous en informer directement la chaine de TV … je ne sais pas …
Bon courage et merci pour vos bon vœux.
A moi de vous souhaiter de trouver un peu de tranquillité en 2014…
Courage! Geneviève SCHMIT